16.10.13

Crâne rasé ou cheveux verts

Commercy / Remiremont, 2013 / 1965, toujours en Lorraine 48 ans plus tard....

Notre ami Michel Thévenin avait osé,
c'était trois ans avant MAI 68.

Cela nous avait beaucoup amusés mais personne, à l'époque, n'aurait eu l'idée de prendre sa défense ! Il a assumé tout seul. Qu'en pense Jackie aujourd'hui ?
C'est maintenant la génération de nos petits-enfants qui fréquente les lycées, deux générations d'écart, et pourtant si peu de différence dans les comportements !

 À cela rien d'étonnant, mais que de changement dans les réactions des jeunes !
Est-ce mieux ou moins bien, il y a là matière à discussion...
Bonne journée à tous,
Ginette


8.10.13

Synagogue de Remiremont

Il y avait, quand nous étions au lycée, une synagogue à Remiremont.
Elle a disparu sans faire de bruit et il y a peu de temps, nous nous posions des questions à ce sujet.

Le hasard a bien fait les choses, je viens d'avoir la réponse dans Vosges Matin, il y a quelques jours.
Je joins l'article à mon courriel, amitiés à tous,
Ginette


 

Chroniques de Septembre 2013

par Georges Charles

Mardi 3 septembre

Le Racou d’abord (« un lieu intemporel », comme dit la publicité), entre Argelès-sur-Mer et Collioure, Toulon ensuite sont mes deux dernières rencontres de l’été avec la Méditerranée. Belle et vieille complice ; depuis cet automne 1963 sur la plage d’Annaba (Bône, avant l’indépendance de l’Algérie) où je la découvrais avec envie et crainte, en mode fascination.

À plusieurs reprises depuis ce jour, j’ai nagé si loin du rivage, enivré par la mécanique des mouvements du corps et incapable de couper le moteur, que naissait le désir fou de ne pas rebrousser chemin, d’oublier la plage et d’entrer enfin dans l’infini liquide. Admettre la suprématie des flots, cesser de résister, se dissoudre. Il paraît qu’une tentation semblable habite certains parachutistes qui, après des milliers de sauts, voudraient que leur chute libre dure toujours ; il leur serait de plus en plus difficile de tirer sur la poignée d’ouverture du parachute. Comme sous l’effet d’une drogue puissante, on flirte avec l’overdose par cette envie de nager jusqu’à l’anéantissement ou de ne pas ouvrir le parachute.

L’appel du large ou du vide n’étant qu’attirance fugace, je reprenais souffle et faisais demi-tour, soulagé. On ne disparaît pas quand on a des enfants.



Le temps de la rentrée est venu. Je ne suis plus qu’un sujet de rédaction : « racontez votre meilleur souvenir de vacances », pour élèves encore engourdis de farniente.

3.10.13

Week-end en Gironde





J'ai préparé un petit compte-rendu de notre week-end en Gironde que je vous envoie ce soir. Comme vous pourrez le lire, ce fut encore un très bon week-end, joyeux, chaleureux et avec des occupations intéressantes.

Sur place, nous avons déjà pensé aux prochaines retrouvailles et il est fort probable que nous revenions dans les Vosges même si Marie-Odile a gentiment suggéré que nous pourrions aller faire un tour dans la vallée de la Seine près de chez elle...idée qui n'est pas perdue, Marie-Odile, nous ne faisons que repousser la date !

J'ai beaucoup parlé de géographie, les oreilles de Marie-Claude ont certainement bourdonné ?? Nous avons parlé de Marie-Claude mais aussi des autres absents qui nous ont manqué, j'espère que les Vosges rassembleront plus de monde la prochaine fois.

En attendant, je remercie sincèrement nos amis de Carcans qui se sont donné beaucoup de mal pour nous recevoir, surtout après le décès du beau-frère de Popomme quelques jours avant la rencontre.

Je voudrais aussi adresser quelques mots à Maryvonne pour la remercier de sa présence, si loin de chez elle, à peine un mois après sa sortie d'hôpital où elle venait de subir une grosse opération du cœur. Bon rétablissement à elle !

Je vous souhaite bonne lecture.
Bises à tous,
Ginette