29.7.08

Leclerc Saint - Aunes


Depuis le 12 juin, date de l'inauguration officielle, la production est effective depuis le 4 juillet... retard dû aux lenteurs administratives de notre grande et dynamique EDF...

Je produis entre 6 800 et 7 000 kw/h par jour, en ce moment, grâce à un ensoleillement assez régulier sur Montpellier.

J'ai prévu de produire 1 450 000 kw/h par an, soit 4 000 en moyenne/jour... à suivre...

Les clients apprécient l'ombre et la fraicheur relative sous les ombrières.

Voilà la fin des travaux et le début d'une production qui devrait durer 25 ans...

Amicalement

Georges Parnot

12.7.08

Rencontres


Cela va bientôt faire un mois que j'ai rencontré Ginette à sa descente du TGV en gare de l'Est. Elle allait chez sa fille, Caroline, pour garder les deux enfants de cette dernière.


Sur ma suggestion, nous sommes allés à la Brasserie "La Strasbourgeoise" où, j'ai tenu à manger ... je vous le donne en mille ... une choucroute ! Je me suis régalée surtout que Ginette, en connaisseur, a trouvé que la choucroute était bonne. J'avais emmené mon appareil photo et j'ai demandé au serveur (nota pour les informaticiens chevronnés, un serveur est aussi un garçon de café ... ) qu'il nous prenne en photo. Celle-ci est toujours dans mon appareil et je crains, mes chers camarades, qu'il ne faille attendre mon retour de vacances, c'est-à-dire fin juillet, pour admirer nos jolies frimousses.



Ensuite, nous sommes allées discuter sur un banc dans le square Villemin tout à côté de la gare de l'Est. Il ne faisait pas très chaud ce jour-là. Comme l'heure du rendez-vous de Ginette et de sa fille approchait, après avoir erré comme des âmes en peine devant la Gare du Nord, nous avons enfin trouvé le bon bus qui devait emmener Ginette vers Caroline. Comme je prenais la même direction nous sommes montées ensemble et je suis descendue à Châtelet d'où je suis partie à pied pour rejoindre le musée du Grand Palais où Marie-Antoinette m'attendait mais, heureusement, pas pour partager son sort. J'ai trouvé cette exposition très, très belle, très bien organisée, avec des objets et des meubles superbes. La fin, un peu comme au Mémorial de Caen, se faisait en descente vers une salle très peu éclairée, avec à l'entrée une vitre dans laquelle on aurait lancé des pavés et reflétant l'ambiance des mois précédant son exécution. J'ai trouvé cette illustration d'un moins bon goût... Camarades républicains, j'ai quand même eu une pensée, devant tout ce luxe, pour les Français de l'époque dont beaucoup mourraient de faim.

Marie Odile