23.1.15

Rencontre chez Dominique

Ce soir, je vous annonce solennellement que notre amie Dominique Frenot a été, aujourd'hui même, couronnée "reine" d'un petit comité du groupe BAC65, les photos devraient suivre dans les jours qui viennent.
En effet, nous sommes tout juste de retour d'une "réunion galette" très sympathique chez nos amis Toussaint à Remiremont. (Ginette)


 Très beaux paysages vosgiens givrés ...  photos prises spécialement pour nos chers amis du sud ... (Blanche)



Si la reine Dominique n'a pas encore sa couronne sur la tête, nous avons reçu néanmoins un accueil royal ! Le fond bleuté, qui ressemble à un tableau de maître, est une vue d'hiver magnifique de la nature qui entoure la maison et domine Remiremont. (Marie-Annette)



 


4.1.15

Chroniques de Décembre 2014

par Georges Charles

Mardi 2 décembre

Le changement, c’est maintenant ? En tout cas, ce n’est pas toujours facile. Veut-on vraiment changer, surtout quand on est vieux ? « Tiens, t’as changé ! », nous dira quelqu’un qui ne nous a pas vu depuis des années ; ce n’est pas rassurant. La voix des gens, tout comme l’expression de leur regard, par contre ne change jamais.

Jeudi 4 décembre

1914, l’année où tout a basculé ; 17e partie, le bilan en décembre.

À la fin de 1914, les deux camps améliorent les premières tranchées du début de la bataille. Elles sont creusées sur toute la longueur de la ligne de défense qui s’étend sur près de 800 km, de la mer du Nord à la frontière suisse. Pourquoi s’enterrer ?

On le sait depuis la guerre des Boers en Afrique du Sud en 1902, ou celle opposant Russes et Japonais en 1905, les canons lourds et les mitrailleuses ont changé les champs de bataille en champs de massacre. Les militaires en viennent à accepter que, face à la létalité du feu au XXe siècle, le soldat ne peut plus mener la guerre dressé sur le champ de bataille comme il le faisait depuis l’Antiquité ; il doit désormais combattre, enterré et dissimulé. Avec les tranchées, on est passé du corps dressé au corps couché, caché, protégé.

L’ampleur des pertes, sans précédent dans l’Histoire, traduit cette " industrialisation " de la guerre. Rien que sur le front occidental, les Français, les Belges et les Britanniques ont perdu plus d’un million d’hommes, dont une grande majorité de Français. Les Allemands comptent environ 675 000 soldats tués, blessés ou disparus au combat.

Sur le front Est, les pertes humaines des deux camps sont encore plus lourdes. Quelque 275 000 Allemands y ont été tués, blessés ou faits prisonniers. Le chiffre atteint un million pour les Austro-Hongrois et 1,8 million pour les Russes. Dans les Balkans, les Austro-Hongrois comptent 225 000 soldats tués, blessés ou faits prisonniers, tandis que les pertes humaines s’élèvent à 170 000 hommes pour la Serbie.

Un tiers des morts de la Grande guerre, dans les cinq premiers mois, d’août à décembre 1914.


D’une guerre courte et joyeuse, synonyme de balade touristique (« Nach Paris ! » pour les uns, « À Berlin ! » pour les autres), on est passé en France à une guerre défensive et patriotique ; en effet, en occupant une partie du territoire national (10 départements du Nord et de l’Est), les Allemands sont devenus les agresseurs.

2.1.15

Les voeux de Ginette

J'ai pris du retard ... la première journée de 2015 se termine déjà à l'heure où j'écris ces mots.
Une fois de plus, nous voici tous embarqués pour une nouvelle année... avec nos bonnes résolutions, nos souhaits, nos craintes et que sais-je encore.

Je remercie tous ceux qui m'ont devancée pour nous présenter leurs vœux et je viens moi aussi souhaiter une très bonne année à chacun de vous.
Ici dans les Vosges, l'année a commencé dans la lumière grâce à la neige qui a enfin daigné tomber : dans la montagne tout est resplendissant et émouvant de beauté, et ça fait du bien.
 
J'en profite pour partager avec vous quelques photos prises cette semaine... des souvenirs pour les "expatriés".

Que cette année vous apporte de la joie, de l'optimisme et de la force pour affronter les difficultés qui nous assaillent parfois.
Que cette année soit aussi l'occasion de nouvelles retrouvailles pour fêter le cinquantenaire de notre baccalauréat ... j'y pense.

Je vous embrasse tous,
 
Ginette