15.9.09

Tout en chansons


1. En “ préfa ” Philo
Souvenirs préfa … buleux

(cf. Johnny “ Souvenirs, souvenirs ”)

Souvenir, souvenir,
On se retrouve et on festoie
Et vous faites refleurir
Toute une année d’émoi
Je me souviens des cours dans l’préfa
Filles côté cour
Et du réveil dans le fourneau
Quand vous faisiez les fous

Souvenirs, souvenirs

De nos beaux jours de philo
Lorsque nous partions cueillir
Mille cours, mille leçons
Et pour mieux garder dans notre tête
Les joies de ces belles saisons

Souvenirs, souvenirs
Il nous reste des chansons

2. En “ préfa ” Philo
Préfa … cétieux

NB. Pour mise en train, sur l’air de “C’est l’amour” de Léopold Nord et Vous.
Qu’est-ce qui bouge / le cul des An / dalouses ?
C’est l’amour
C’est l’amour
C’est … l’a ..mour, mour, mour
***
Qu’est-ce qui fait / qu’aujourd’hui on / s’déplace
C’est la classe
C’est la classe
C’est … la classe, classe, classe

A qui donc / doit-on cette i / dée folle ?

A Ginette
A Ginette
A … Ginette, nette, nette

Qui a mis / le réveil dans / l’fourneau ?
C’est qui donc ?
C’est qui donc ?
C’est … qui donc ? donc ? donc ?

Vous et moi / dans le même / préfa
C’est philo

Qui s’pointait / au bahut en / bagnole ?
C’est le Georges

Mais qui donc / d’astuce toujours / regorge
C’est le Georges

Aujourd’hui / c’est qui le vol / taïque ?
C’est le Georges

Qui baroudent / en duo au / Maroc ?

C’est les Georges

Qui déteste / la suffisance / française ?
C’est le Georges


Qui a mis / le réveil dans / l’fourneau ?
C’est qui donc ?

Qui s’est mis / tout’ la boul’à / zéro ?
C’est l’Michel

Qui a dit / mieux motard que / jamais
C’est l’Michel

Not’ di ji/ c’est le kapell / meister
C’est l’Costi

Quel Vosgpatt / nous fabrique des / polars ?
C’est l’Francis

Mais c’est qui / Kallisté tout / en Corse ?
C’est l’Francis

Mais qui donc / a offert les / desserts ?
C’est Ginette

Qui a mis / le réveil dans / l’fourneau ?
C’est qui donc ?


3. En “ préfa ” Philo
Un songe

(Sur l’air de “Oh ! les filles” de Au Bonheur Des Dames)

Oh! la classe ! oh ! la classe !
C’était not’ bell’ jeunesse
Oh! la classe ! oh ! la classe !
Une pléthore de filles

J’s’rais bien sorti avec … / Mais jamais je n’aurais osé

Flash back sur un monde inventé / Je peux toujours le supposer
Chez Antoine, on s’rait allé / Des diabolos, on s’rait payé

Oh ! la teuf ! Oh ! la teuf !
Je n’ose même pas y croire
Oh ! la teuf ! Oh ! la teuf !
Ca s’rait jubilatoire

J’s’rais bien sorti avec … / Au cinéma on s’rait allé
Et au moment le plus tragique / Elle m’aurait dit de l’embrasser
Et comme je n’suis pas très logique / J’ l’aurais mêm’ pas becquottée

Oh ! le con ! oh ! le con !!

Que n’ai-je lu tout Freud !
Oh ! le con ! oh ! le con !!
Qu’est-ce t’as fait en philo ?

E pericoloso gordini / ti gli ti gli ti gli / Mais moi je n’avais qu’un vélo

Bonjour par big hygrométrie / C’était pas toujours rigolo
Tout’ l’année j’aurai pédalé / Et rien n’a pu m’en empêcher

Oh! la classe ! oh ! la classe !
C’était not’ bell’ jeunesse
Oh! la classe ! oh ! la classe !
Une pléthore de filles

4. En “ préfa ” Philo
Du préfa à la boîte

(Sur l’air de “les Voisines” de Renan Luce)

J’ai toujours préféré aux copains les copines
Courbes fantomatiques nourrissant mes fantasmes
Je me suis inventé une amour clandestine
Caution très virtuelle d’un durable enthousiasme

De ma place, tout au fond, je pouvais l’observer
D’autant que j’me foutais et de Kant et de Fichte
Tout autant à vrai dire que d’Merleau et … d’Ponty
et tutti quanti

J’ai toujours préféré aux alpins les alpines
C’est qu’elle faisait rêver la belle alpine Renault
J’ai toujours préféré aux félins les félines
C’est la jaguar type E qui ressortait du lot

De la terrasse en face, je Lelouche la Mustang
Ouah !! Comme elle est racée, je sens la métaphore
La monture se transforme en superbe amazone,
Le temps d’une DS

J’ai toujours préféré aux coquins les coquines

Celles qui vous embrasent au lido et top ten
J’ai toujours préféré aux lutins les lutines
Chapiteaux des bals Huc, ambiance du p’tit béné

De ma banquette en face, je r’zieute la belle danseuse
Concurrence déloyale, due aux non boutonneux
Je n’ose même pas l’inviter une fois
Puis un rock de Johnny et je n’bouge toujours pas
Et un slow de Ferré qui me tétraplégise
Il faudra un peu d’temps au néo boîte de nuit
Fan tout chaud des 1000 clubs et de la MJC

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La cocotte SEB


A la fin de l’exposé de Marie Claude sur 1965 et les désirs d’émancipation de la femme, j’entendis un de mes voisins susurrer un provocateur “ Hé ! Là, cocotte, minute ! ”. J’avais la transition pour remonter le temps en compagnie de …

… la cocotte SEB


Oyez, oyez, bonnes gens, les aventures de la cocotte SEB.

J’en profite pour vous narrer par la même occasion les authentiques circonstances de la mort de notre bon roi Henri IV. Je vais vous prouver que ce dernier ne fut jamais guillotiné ou poignardé ou chaiseélectrisé ou que sais-je encore ; foin de toutes fumeuses élucubrations qui se sont succédé au cours des siècles dans nos écoles de France et de … Navarre. Il est bien entendu que si mon propos vous surprend en quoi que ce soit dans sa présentation historique, votre intervention est la bienvenue.

Adonc, je vous narre. 16 siècles ¾ après JC et 4 siècles avant qui vous savez (là, c’est personnel, je ne m’étends pas), papi Denin heu ! Denis Papin invente la cocotte SEB. Vous vous en souvenez, la bonne grosse cocotte, avec un couvercle, mais sans queue, elle ; pas comme cette autre cocotte de mauvais genre, cette cocotte coquine qui cocufiait son coq, un drôle de coco qui poussait des cocoricos si cocasses et qui donc ne vivait en pays de cocagne avec cette coquette cocotte, coqueluche de tous les coqs ; elle risquait gonocoques et cocards mais elle s’en tamponnait le coquillard. Elle ….

Enfin bref, ne divaguons pas, revenons à notre première “géline ”. Adonc, Denis Papin invente la cocotte SEB. Une poignée d’années plus tard, le bon roi Henri invite les François et les Françoises à mettre tous les dimanches la poule dans la cocotte. C’est qu’il était à la coule dans la popotte. Faut quand même être à la coule dans la popotte pour mette la poule dans la cocotte. Ca, pour sûr, not’ bon roi, il aimait bien tremper la louche dans la cocotte ; il ne détestait pas non plus (euphémisme) tremper Lolotte dans sa couche. La soupe et les cocottes, oui ; la coupe et les sossottes, oui aussi.

Pour s’assurer qu’en son royaume l’on dégustait bien la dominicale poule au pot, Henri effectuait des descentes surprises dans les foyers. Les opérations coups de cuiller qu’on appelait ça. Le roi arrivait ex abrupto, tout de go, de go et … ? Millaut. C’est bien, ça suit. Il amenait toujours 1 ou 2 potes mais peu importe tant cela faisait grandement plaisir à ceux qui régalaient. Vous parlez d’un souvenir. Et rien que de contempler la tronche constipée des voisins, cela faisait s’évanouir la dépense. Voilà une coutume bien sympathique qui était complètement tombée en désuétude. Heureusement cet us a été repris par un de nos derniers rois … à une variante près. Aujourd’hui on ne va tortorer chez n’importe qui ; un coup de fourchette est si vite arrivé. A l’époque, on ne faisait pas gaffe, on ne connaissait pas la fourchette.

Et c’est ainsi que le roi est allé poulopotiser chez les Ravaillac. Mais enfin, qu’est-ce qui l’y pousssa ? F-ce le fumet particulièrement délicat d’une sauce poulette ? Nenni. Fut-ce alors l’accorte, pulpeuse et pas farouche dame Ravaillac ? Que nenni. Enfin je n’sais ni. En tout cas, pour notre vert galant, cette dernière ne devait représenter une poule d’essai. Mais, pourquoi diable, pourquoi démon de midi, l’amena-t-il, sul lit ? Ne vous méprenez point, gentils sires et gentes dames, beaux damoiseaux et belles damoiselles, j’ai dit Sully et non sur le lit. Sully, c’était un copain du roi, un de ses potes, celui qui tenait ses bourses, celui qui réglait les conso, quoi.

Toujours est-il que l’ambiance devait être à la surchauffe. En effet, et ce fut vraiment grand malheur en douce France, c’est juste au moment où le gentil sire Henri s’approcha du fourneau dans lequel le coke, en chaleur, très en chaleur, incandescent même, s’échinait à chauffer la cocotte, qu’icelle s’éclata en plein dans la tronche d’icelui, brûlant cuirs et poils. Palsambleu, morte couille, “j’y cuis, j’y reste”. Il trépassa donc notre sire … cuit. Circuit ? Vous suivez le chemin ? Il est donc bien mort roussi et non décapité ou poignardé ou je ne sais quoi. Pour la petite histoire et pour faire le malin avec un petit jeu de mot, il est à noter que le feu roi, avant d’être occis, ne s’estoit même pas panse rempli et gargamelle adouci. On ne put donc parler du « feu nourri ». Feu nourri, les p’tis gars ; réveillez-vous ; vous avez vos vapeurs ; la cocotte siffle ; enlevez la soupape, sinon ça risque encore de péter

S’était-il agi d’une félonie de sieur Ravaillac, … d’une défaillance de la cocotte (la soupape ou alors le morphogénérateur spiralo concentrique et diaphragmatique ? C’est tout nouveau ça venait de sortir) ? Oncques on ne le sut. Les pêts des ex perchés, … Heu ! Excusez ce malencontreux contrepêt. Les experts dépêchés, voulais-je dire, … partirent de la manufacture de Peccavillers, seigneurie de Celles, chapitre des dames chanoinesses de Remiremont, comté des Vosges, duché de Lorraine, St Empire Romain Germanique … (Vous pouvez barrer toute mention qui vous paraîtrait superflue). Les experts arrivèrent sous la conduite du docte et savantissime maître ès emboutissage, Francis le Corse, inventeur des fours don Martin. Nonobstant ces immenses compétences ès métallurgie, ils ne purent franche et indubitable conclusion apporter. Adonc, la garantie joua. La cocotte susdite et suspecte fut remplacée ipso facto et placebo par un écarteleur tous membres, puissance 4 chevaux, 4 très forts chevaux de préférence, prix maximum 20 louis, 10 deniers et 5 sols. Pas d’utilisation prolongée sans avis médical. L’écarteleur fut testé sur sieur Ravaillac, détenteur de l’explosive cocotte. La machine fit merveille. La veuve, comme de coutume et comme de bien séance, eut droit aux morceaux choisis. Mais, toute marrie devant son mari démis, tout démis, complètement démis, la mère « démis » recracha le meilleur morceau, tout en éructant « Ben, ça, pardi, c’est ben vrai, SEB, SEBO, SEBON »…. CQFD.

Gabriel Barnet

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Tout en vers


C’était un beau dimanche, en souvenir du bac.
Des lambeaux de brume flottaient sur le lac.
Les rues étaient bloquées, les gendarmes énervés :
« Vous n’êtes pas coureur, passez votre chemin,
La Mauselaine ? je ne connais pas ce coin »

Dans le brouhaha du breakfast entamé,
Des gâteaux de Ginette, ils se gobergeaient.
Annette et Blanche, Andrée et Antoinette
Francis, les deux Georges puis Marie-Annette
Gabriel et Pierre, sans oublier Yvette.
Dominique aussi, et les conjoints amusés ;
Marie-Claude était là comme à l’accoutumée.

Les agapes du soir, je n’en parlerai point,
L’on dit qu’elles furent gaies et pleines d’entrain.
Les spectacles, les chants et le karaoké.
La nuit avait été belle et bien protégée.
Des pandores veillaient sur leur tranquillité.

Puis vêtus pour l’Everest et armés de piolets
Ils se mirent à l’assaut du Mont Grouvelin.
Mais à la première étape le rythme fléchissait.
Des tartes aux myrtilles, le soleil sur la chaume !
Claude hocha la tête et dit : « Je le savais ;
Pis que les écoliers, pis que les collégiens,
Ainsi sont les seniors, prêts comme un seul homme
A s’amuser d’un rien. Il m’eût fallu mon chien .
Revenez, revenez ou je fais un malheur
L’apéro au soleil, vous l’aurez tout à l’heure »

Seule, Marie-Odile n’était point levée ;
Et aussi disparu, un gendarme fringant.
Ses collègues criaient : » Où est-il maintenant ? »
D’étage, dans la nuit, se serait-il trompé ?
L’âge et les années n’empêchent pas de rêver.
Hélas ! C’est une amie qu’elle alla visiter.

Puis, assis au balcon, buvant notre café,
Tandis que sur le lac dansaient les vaguelettes,
Nous regardions passer les braves triathlètes.

Vous voulez que j’évoque autre chose ? Ciel !
L’alexandrin ne va pas à l’audiovisuel.
Mais nous avons bien ri à l’œuvre de Michel.
La musique était là, les rires, les souvenirs.
La belle hélitreuillée, l’internat, les fous rires.

Les adieux furent longs, nous nous embrassâmes tous.
Car malgré la grippe, l’on s’embrasse entre nous.

Si la bravitude vous poussait à compter,
Vous verriez vous-mêmes que j’écris comme un pied.

Madeleine, le 14 septembre 2009

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Bonjour à tous


Nous voilà sortis de notre « bulle », et revenus à nos petites habitudes, mais contents de ce week-end à Gérardmer, beaucoup plus chaleureux que le premier, du moins ce sont les sentiments qui m’ont été rapportés par plusieurs participants et ceux que je ressens moi aussi.
Tous vos commentaires représentent pour moi une belle récompense à cette initiative.
Je vous en remercie sincèrement.

Rien à voir avec les retrouvailles de 2006, dominées par l’émotion et une appréhension certaine ; le recul permet d’analyser plus justement l’ambiance des deux week-ends.

Depuis 2006, les anciens du bac 65 se sont rencontrés ici et là au gré de leurs voyages ou à différentes occasions et ainsi de nouveaux liens se sont tissés entre nous.
Les racines de nos amitiés de lycéens sont très lointaines, mais elles semblent refaire surface aujourd’hui. A Gérardmer, nous étions bien ensemble. « Ensemble, c’est tout » comme le dit Anna Gavalda.

En attendant un reportage plus détaillé de notre week-end, que je réaliserai avec Michel Costi et aussi avec Claude Valroff pour une mise en page très soignée dans le blog, comme il sait si bien le faire, je vous envoie un bref résumé de ce qui s’est passé « là haut, dans la montagne ».

J’espère que je ne vais rien oublier, voici donc le déroulement du week-end :

Après l’accueil chaleureux de Gabriel, dans une belle maison construite de ses propres mains, nous nous sommes rendus à Gérardmer ... où là, après le repas, sont intervenus nos artistes.

Dès l’arrivée au centre de la Mauselaine, Francis Martin a remis à chacun d’entre nous, un exemplaire d’un livre écrit de sa main, agréable entrée en matière !

Michel Costi nous a présenté un montage vidéo, avec de nombreuses photos récupérées depuis 2006 et la musique de notre jeunesse : que de souvenirs évoqués !!

Georges Charles nous a parlé Histoire : les grandes révolutions techniques qui ont amélioré nos vies personnelles, depuis notre enfance jusqu’à aujourd’hui. Des choses dont nous ne sommes même plus conscients.

Marie-Claude Duhoux
nous a aussi parlé Histoire, non, non, rien à voir avec nos cours d’Histoire, d’ailleurs, aucun réveil n’a sonné pour l’interrompre, mais elle a évoqué l’évolution de la vie de la femme depuis notre enfance. Quels bouleversements !

Marie-Annette Renauld, elle, a fait un petit récit très personnel de sa vie de petite fille dans les années cinquante et soixante ... et, je pense que plusieurs d’entre nous se sont reconnus ! Encore de l’Histoire, mais partie d’un cas particulier, cette fois.

Annette Humbert et Antoinette Leca ensuite, nous avaient préparé un sketch (de l’Histoire, toujours) mais non, des histoires d’internat cette fois, édifiantes mesdemoiselles. Qui aurait cru cela de vous ?

Gabriel Barnet, mais oui, notre Gabriel si timide, est venu sur scène nous déclamer un sketch de sa composition, que je ne saurais décrire ... nous avons beaucoup ri et je lui laisse le soin de nous le faire parvenir sur le net. (Je lui ai posé la question, il est d’accord, il faudra juste attendre un peu que passe son essoufflement).

Georges Parnot et Marie-Odile Maurice nous ont eux aussi révélé des talents cachés en chantant, eh oui, encore une bonne idée de l’ami Michel qui nous avait concocté un karaoké ...

Enfin, Gabriel a fait un retour sur scène très remarqué avec sa guitare et des compositions cette fois très personnelles concernant les membres du groupe Bac 65.
C’est ainsi qu’arriva l’heure de la danse ... jusqu’à 1h30 du matin. Le coucher très tardif n’empêcha personne d’être bien à l’heure le lendemain pour la marche.

Claude Valroff nous avait, comme il y a trois ans, préparé une jolie balade, pas très fatigante heureusement, que nous avons réalisée à pas lents ... car nous avions tellement de choses à nous raconter.

Pour conclure la balade, Georges Parnot nous a gentiment offert l’apéritif sur la terrasse de l’auberge de Grouvelin, sur les hauteurs de Gérardmer, et cela, comble de chance, sous un soleil radieux ! Personne n’avait envie de quitter les lieux.

Après le déjeuner, il a fallu se séparer, mais il fut dit pour nous y aider, que c’était en attendant le prochain rendez-vous.
Comme vous pouvez le lire, cette rencontre fut une réussite grâce à tous les participants et je les remercie du fond du cœur. Je vous embrasse tous.

PS important : il serait bon que pour la prochaine fois le mystère du réveil de Mademoiselle Cussenot soit résolu ...
Dans la classe, nous avons un commandant de gendarmerie en retraite, n’est-ce pas Jean-Claude ? Tu as peut-être un peu de temps à consacrer à cette énigme ou des conseils à nous donner pour résoudre ce grave problème. Nous te remercions à l’avance.


Ginette, le 11 septembre 2009



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