"Quel merveilleux week-end que celui du 23 juin 2007. Je m'en faisais une fête. J'allais voyager avec le nouveau TGV EST ... Et quelle impression de fierté, de nationalisme ... (allons ! n'hésitons employons les mots qui .. frappent !!) quand on entend dans la gare "LE TGV pour Remiremont va partir."
Après-midi si sympathique avec Nicole. Nous avons bien discuté bien que nous nous (enfin, surtout elle) m'appelle presque tous les dimanches. Soirée absolument délicieuse. (?) Est-ce bien le terme qui convient quand on se rappelle les blagues de Michel et Gabriel ... J'avais l'impression que nous nous entendions tous si bien ... que les années qui ont suivi le bac étaient mises entre parenthèses ... ..
Et la nuit passée chez Ginette ...... ... J'ai DORMI, mais si bien ... que ce fut la cause de notre retard à St Romary. Et puis, cette tarte aux myrtilles .........
Donc, nous nous mettons en route. Claude, sympa, m'avait apporté 2 bâtons, pas de berger mais de randonnée.. tout était pour le mieux.. quand patatras Gâtesauce a joué son rôle et je me suis cassé la binette. Mes splendides lunettes de soleil dernier cri ont volé sur la route et voilà tout-le-monde autour de moi en train de me relever. J'aime le cocooning mais y a des limites quand même. J'avais mal à la cuisse droite : elle s'était retrouvée sur le bâton et même aujourd'hui... Je vous épargnerai la vue de mon bleu ... Merci Marie-Odile ! Et puis ma main me faisait un peu souffrir. Grâce à André, j'ai tout-de-suite su qu'il ne devait y avoir rien de cassé. Merci aussi au mari de Marie-Antoinette pour m'avoir remis mes lunettes.
Donc, après un au revoir bâclé car je n'ai pas pu faire la bise à tout-le-monde, je me suis installée à ma place de 1ère classe ! si ! si ! Ah ! internet ... quand tu nous tiens ! Contrairement à mon habitude, je n'ai RIEN fait ni lu. J'ai bu. C'est tout. et j'ai songé .........
A Nancy je me suis mise à la porte du wagon et je me suis rendu compte assez rapidement que je gênais. J'ai fait la remarque à haute voix : "je vais m'en aller" et j'ai vu un gars, tout cravatté, qui m'a répondu d'un ton très mais alors TRES constipé :"excellente initiative, Madame". Il m'a énervée et j'ai répondu : "c'est chaque fois pareil au retour vers Paris : il y a des grognons !"
Ensuite, je me suis mise à la recherche de Madame Duhoux. J'ai fait toutes les voitures. Les gens me regardaient car en effet, moi, je les regardais bien sous le nez ! J'ai trouvé notre professeur d'histoire-géographie adorée. Nous avons discuté un bon moment sur des strapontins restés miraculeusement libres.
A l'arrivée à Paris mon fils m'attendait et m'a "transférée" jusqu'à, la gare St Lazare où j'ai pris le train du Havre ce qui signifie une arrivée à Vernon à 22h20. Pas mal comme horaire.
Alors là, les amis, a commencé mon chemin de croix. Mes doigts avaient enflé et me faisaient mal. 1ère conséquence : pas moyen de desserrer le frein à main ... J'ai levé le bras en direction de la seule voiture qui est passée par là ... Pfui ! Elle est passée sans vouloir écouter ma souffrance. Des gens se promenaient le long de la gare ... mais ils ont continé leur chemin dans l'autre direction. Bref, au bout d'un quart d'heure j'ai réussi à desserrer ce ...... .de frein.
Je suis arrivée aux urgences de l'hôpital de Vernon. Il y avait la télé. Quelqu'un attendait avant moi mais est passé rapidement. Je suis donc passée assez rapidement. Le médecin a tâté mon poignet : pas de fracture. Elle m'a envoyé passer une radio de mes jolis (??) petits doigts. Résultat : pas de fracture. Ouf ! J' allais pouvoir reprendre ma voiture et nourrir mon chat.
Oui, mais ... il y avait toujours ce problème de frein à main et maintenant celui de la marche arrière ... Plus j'essayais et plus je me rapprochais du pare-choc de la voiture devant moi ...Quand soudain ... l'éclair ... Mais oui, mais c'est bien sûr !!! Je suis sortie et j'ai poussé la voiture en arrière. C'est facile ... Je l'ai toujours fait avec toutes les voitures même plus grosses dans le garage. Quel bonheur ! Le Ciel était avec moi ... enfin ! Gabriel, ne te formalise pas de ces images bibliques : j'ai eu comme toute bonne Vosgienne une forte éducation religieuse ! Il m'en est resté quelque chose !
Arrivée devant la porte du garage j'ai pu au bout de 5 minutes desserrer le frein à main. (J'habite dans une côte) et rentrer ma Twingo tant bien que mal.
La suite vous la connaissez : la papatte très enflée, la visite du médecin, les anti-inflamatoires, les progrès très lents et aujourd'hui, j'arrive à taper avec pratiquement tous mes doigts ! C'est quand même lent.
Mais quel week-end ! De part et d'autre, j'entends ou je lis des messages disant combien vous vous êtes sentis heureux. Ah ! ................ (gros soupir). Que l'amitié est un beau mot. I love you all ! Voilà ce qu'on dit aux Etats-Unis !!
J'ai repris l'école ... pour deux jours ... Samedi, je n'étais pas bien ... Je crois que j'ai pris un coup de vieux !Va falloir tenir le coup pendant ces vacances !!
Petit rappel : j'ai loué un gîte près d'Audierne pour les 2 dernières semaines de juillet. Il y a deux chambres. Avis aux amateurs ! (Ich bien sérieuse). Il faut bien que quelqu'un me ramasse si je tombe ! Samedi je fais un test. Je vous dirai.
Je vous embrasse tous très fort.
Après-midi si sympathique avec Nicole. Nous avons bien discuté bien que nous nous (enfin, surtout elle) m'appelle presque tous les dimanches. Soirée absolument délicieuse. (?) Est-ce bien le terme qui convient quand on se rappelle les blagues de Michel et Gabriel ... J'avais l'impression que nous nous entendions tous si bien ... que les années qui ont suivi le bac étaient mises entre parenthèses ... ..
Et la nuit passée chez Ginette ...... ... J'ai DORMI, mais si bien ... que ce fut la cause de notre retard à St Romary. Et puis, cette tarte aux myrtilles .........
Donc, nous nous mettons en route. Claude, sympa, m'avait apporté 2 bâtons, pas de berger mais de randonnée.. tout était pour le mieux.. quand patatras Gâtesauce a joué son rôle et je me suis cassé la binette. Mes splendides lunettes de soleil dernier cri ont volé sur la route et voilà tout-le-monde autour de moi en train de me relever. J'aime le cocooning mais y a des limites quand même. J'avais mal à la cuisse droite : elle s'était retrouvée sur le bâton et même aujourd'hui... Je vous épargnerai la vue de mon bleu ... Merci Marie-Odile ! Et puis ma main me faisait un peu souffrir. Grâce à André, j'ai tout-de-suite su qu'il ne devait y avoir rien de cassé. Merci aussi au mari de Marie-Antoinette pour m'avoir remis mes lunettes.
Donc, après un au revoir bâclé car je n'ai pas pu faire la bise à tout-le-monde, je me suis installée à ma place de 1ère classe ! si ! si ! Ah ! internet ... quand tu nous tiens ! Contrairement à mon habitude, je n'ai RIEN fait ni lu. J'ai bu. C'est tout. et j'ai songé .........
A Nancy je me suis mise à la porte du wagon et je me suis rendu compte assez rapidement que je gênais. J'ai fait la remarque à haute voix : "je vais m'en aller" et j'ai vu un gars, tout cravatté, qui m'a répondu d'un ton très mais alors TRES constipé :"excellente initiative, Madame". Il m'a énervée et j'ai répondu : "c'est chaque fois pareil au retour vers Paris : il y a des grognons !"
Ensuite, je me suis mise à la recherche de Madame Duhoux. J'ai fait toutes les voitures. Les gens me regardaient car en effet, moi, je les regardais bien sous le nez ! J'ai trouvé notre professeur d'histoire-géographie adorée. Nous avons discuté un bon moment sur des strapontins restés miraculeusement libres.
A l'arrivée à Paris mon fils m'attendait et m'a "transférée" jusqu'à, la gare St Lazare où j'ai pris le train du Havre ce qui signifie une arrivée à Vernon à 22h20. Pas mal comme horaire.
Alors là, les amis, a commencé mon chemin de croix. Mes doigts avaient enflé et me faisaient mal. 1ère conséquence : pas moyen de desserrer le frein à main ... J'ai levé le bras en direction de la seule voiture qui est passée par là ... Pfui ! Elle est passée sans vouloir écouter ma souffrance. Des gens se promenaient le long de la gare ... mais ils ont continé leur chemin dans l'autre direction. Bref, au bout d'un quart d'heure j'ai réussi à desserrer ce ...... .de frein.
Je suis arrivée aux urgences de l'hôpital de Vernon. Il y avait la télé. Quelqu'un attendait avant moi mais est passé rapidement. Je suis donc passée assez rapidement. Le médecin a tâté mon poignet : pas de fracture. Elle m'a envoyé passer une radio de mes jolis (??) petits doigts. Résultat : pas de fracture. Ouf ! J' allais pouvoir reprendre ma voiture et nourrir mon chat.
Oui, mais ... il y avait toujours ce problème de frein à main et maintenant celui de la marche arrière ... Plus j'essayais et plus je me rapprochais du pare-choc de la voiture devant moi ...Quand soudain ... l'éclair ... Mais oui, mais c'est bien sûr !!! Je suis sortie et j'ai poussé la voiture en arrière. C'est facile ... Je l'ai toujours fait avec toutes les voitures même plus grosses dans le garage. Quel bonheur ! Le Ciel était avec moi ... enfin ! Gabriel, ne te formalise pas de ces images bibliques : j'ai eu comme toute bonne Vosgienne une forte éducation religieuse ! Il m'en est resté quelque chose !
Arrivée devant la porte du garage j'ai pu au bout de 5 minutes desserrer le frein à main. (J'habite dans une côte) et rentrer ma Twingo tant bien que mal.
La suite vous la connaissez : la papatte très enflée, la visite du médecin, les anti-inflamatoires, les progrès très lents et aujourd'hui, j'arrive à taper avec pratiquement tous mes doigts ! C'est quand même lent.
Mais quel week-end ! De part et d'autre, j'entends ou je lis des messages disant combien vous vous êtes sentis heureux. Ah ! ................ (gros soupir). Que l'amitié est un beau mot. I love you all ! Voilà ce qu'on dit aux Etats-Unis !!
J'ai repris l'école ... pour deux jours ... Samedi, je n'étais pas bien ... Je crois que j'ai pris un coup de vieux !Va falloir tenir le coup pendant ces vacances !!
Petit rappel : j'ai loué un gîte près d'Audierne pour les 2 dernières semaines de juillet. Il y a deux chambres. Avis aux amateurs ! (Ich bien sérieuse). Il faut bien que quelqu'un me ramasse si je tombe ! Samedi je fais un test. Je vous dirai.
Je vous embrasse tous très fort.
Marie-Odile
ou Marie-O
ou Modile
ou encore : MO ! (Vous vous reconnaîtrez !)"
J'ai été déjà plus inspirée ...
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