Francis a dédicacé son ouvrage, "le tueur du lac de Gérardmer", ce dernier samedi à la Coupole, à Remiremont.
Après "Soyotte mortelle à Remiremont" et "Epinal, tout le monde descend", Francis plante l'intrigue dans la Perle des Vosges. N'en doutons pas, ce roman sera aussi passionnant que les précédents. Pour reprendre l'expression d'Hélène, libraire qui organisait cette séance de dédicaces, Francis s'est lâché ...
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2 commentaires:
Mon cher Francis,
Il y a bien longtemps que je n´avais pas lu un livre (presque) d´une seule traite, comme je viens de le faire avec ta dernière publication, « Le tueur du lac de Gérardmer ».
Moi qui suis de longue date fan de San Antonio (j´ai même les œuvres complètes de S. A. reliées cuir !), j´ai retrouvé le même humour, avec en prime l´environnement et la langue de chez nous. Formidable !!!
Quelques extraits qui m´ont fait éclater de rire :
« L´orchestre Vic Hernandez vient d´attaquer « Reste contre moi si ça mouille »
« le père « Spiess-Hougeveux »
« l´agence Pertaque, de Gérardmer »
« Quelques alsaciens ont déjà balancé les grands succès d´Oscar Derouch »
« Natacha Tanfoli » ( !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!)
« Les Kibèzes »
« Henri Catte »
« Edouard Sette »
« Si on m´avait dit qu´Henri Catte seraitr assassiné par Rawa Yak, j´aurais souri »
« le maire de Gérardmer, monsieur François Preumié »
etc, etc,
Merci Francis pour ces excellents moments !
Michel Costi
Je ne pense pas que not’ Francis aura le prochain Goncourt, mais effectivement ce dernier bouquin se lit facilement, et Francis me surprend par son imagination débordante, il a pensé à importer des poissons sud-américains dans le lac de Gérardmer, et à nous créer comme San Antonio des personnages hauts en couleur, et à faire tenir le fil, parfois par les cheveux, d’une histoire rocambolesque.
Et le lecteur joue le jeu, se fait promener et tourne les pages pour connaître la suite. Parallèlement Francis émaille de souvenirs de ses 20 ans, et a un style personnel réel, un art de la description remarquable, et un amour des Vosges, de ses paysages, de ses odeurs, qui transpire tout au long de ses livres.
Il va continuer car il aime çà, et nous aussi.
Georges Parnot
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