vu par Ginette et André
De retour de notre séjour au Japon depuis vendredi, j'ai un peu de
mal à reprendre la vie de tous les jours, mais voilà, le premier pas est
fait, bonsoir mes amis.
Que vous dire de ce beau
voyage ? Que nous avons aimé ce pays tellement différent du nôtre, nous y
avons découvert une société organisée où chaque chose semble être à sa
place et où la vie de tous les japonais donne l'impression d'être réglée comme une horloge.
Nous
y avons rencontré des gens accueillants et toujours prêts à nous aider
même si la communication n'est pas facile quand on ne connaît pas la
langue.
Et que de surprises chaque jour, nous avons admiré des
jolies Japonaises habillées de kimonos traditionnels, de superbes
paysages d'automne, des temples à tous les coins de rue, apprécié des
trains à l'heure et ultra-propres,
Nous en avons pris plein les yeux et sommes rentrés chargés de beaux et bons souvenirs.
L'art de s'asseoir
Les bons moments passés au Japon continuent à proliférer dans nos pensées, alors vous allez en profiter encore un peu vous aussi.
Aujourd'hui, ce sera avec une photo personnelle.
Imaginez
comment on peut passer tout un repas devant une table au ras du sol,
assis sur une chaise sans pattes, même si un coussin est délicatement
posé sous vos jambes.
D'abord, très occupé à identifier ce qu'on a dans le bol et à se débattre avec les baguettes, on oublie qu'on est assis sur ses pieds !
D'abord, très occupé à identifier ce qu'on a dans le bol et à se débattre avec les baguettes, on oublie qu'on est assis sur ses pieds !
Puis on termine le repas en gigotant comme un gamin !
Cela
se passe uniquement dans les auberges typiques appelées "ryokans", où,
comme vous le voyez sur la photo, la tenue japonaise est de rigueur.
On
trouve cette tenue en coton sur son lit en arrivant, chaque soir une
tenue propre, cela ressemble à la tenue des judokas et il est fortement
recommandé de la porter dans tout l'hôtel.
J'avoue
que le premier soir, nous ne savions que faire et nous avions
l'impression de nous déguiser, mais on s'habitue vite à ce confort.
Les chaussettes à doigts nécessaires pour marcher en tongs et les tongs qui font partie de la tenue sont fournis aussi.
Les chaussettes à doigts nécessaires pour marcher en tongs et les tongs qui font partie de la tenue sont fournis aussi.
On se déchausse partout au Japon et j'ai trouvé cela fort propre.
En effet partout ailleurs, on entre dans les chambres d'hôtel avec des semelles qui ont essuyé tout ce qu'on peut imaginer de plus sale sur les trottoirs...
En effet partout ailleurs, on entre dans les chambres d'hôtel avec des semelles qui ont essuyé tout ce qu'on peut imaginer de plus sale sur les trottoirs...
L'automne
Pour le plaisir des yeux, quelques photos de l'automne au Japon.
C'est une belle saison pour visiter ce pays, il fait encore bon et les feuilles des arbres prennent des couleurs éclatantes, c'est un ravissement !
La propreté
Nous n'en croyions pas nos yeux : regardez cet employé qui passe l'aspirateur sur un quai, ensuite, il frotte le même quai avec un balai à franges !Je n'ai pu m'empêcher de le prendre en photo, ce qu'il faisait ne serait pas imaginable chez nous.
Et dans la rue, pas un papier par terre...que de leçons ils nous donnent.
Pourtant
rien n'est parfait, cette obsession de la propreté entraîne encore
aujourd'hui un sur-emballage de toutes les denrées alimentaires, il faut
aussi le voir pour le réaliser.
Dans les magasins tout est emballé dans deux ou trois papiers ou films alimentaires et replacé dans des sacs en plastique au moment d'emporter les courses.
Presque partout on distribue encore des cas en nylon, cela nous a surpris.
Dans les magasins tout est emballé dans deux ou trois papiers ou films alimentaires et replacé dans des sacs en plastique au moment d'emporter les courses.
Presque partout on distribue encore des cas en nylon, cela nous a surpris.
Hiroshima
Courte étape à Hiroshima mais combien émouvante.
Tout le monde se rappelle de l'explosion du 6 août 1945, la ville a été reconstruite mais elle n'a pas oublié.
Le Dôme de Genbaku, le seul bâtiment qui n'a pas été entièrement détruit a été bien consolidé afin de susciter et de représenter l'espoir.
Et
la nature a aussi montré son optimisme en faisant renaître les ginkos
de leurs cendres, ce sont les deux photos que je vous envoie
aujourd'hui.
Un cénotaphe a été construit, une flamme de la paix y brûle, destinée à rester allumée tant que des armes nucléaires existeront.
Le Pape est passé a Hiroshima le lendemain de notre passage.
Cette visite nous a inspiré toutes sortes de réflexions, j'ajoute une texte tiré de wikipédia :
" Le 6
août 2015, le Japon a commémoré la tragédie d'Hiroshima survenue 70 ans
plus tôt. C'est désormais une ville de 1,2 million d’habitants devenue
un symbole du pacifisme. À 8 h 15 exactement,
heure à laquelle en 1945, à la même date, un bombardier américain avait
largué une bombe atomique sur la ville, un enfant et une jeune femme
ont frappé une grande cloche devant une foule de 55 000 personnes
recueillies dans le parc du Mémorial de la paix afin de commémorer ce
tragique évènement8.
A cela s'ajoute une abondance de transports en commun que je n'ai vue nulle part ailleurs, des trains, des métros, des monorails, des bus, des taxis....J'avoue qu'au début, on se perd facilement dans les gares mais nous n'avons quand même jamais pris le mauvais train.
Tous ces moyens de transport avec une fréquence de circulation impressionnante.
Même les trains longue-distance (le Shinkansen, l'équivalent de notre TGV) se suivent avec des intervalles de 7 ou 8 minutes, et quelle organisation pour qu'il n'y ait pas de bousculade !
L'accueil des touristes
Les représentants d'une centaine de pays étaient présents, notamment Caroline Kennedy, l'ambassadrice des États-Unis au Japon et Rose Gottemoeller, la sous-secrétaire américaine chargée du contrôle des armements. Le premier ministre japonais, Shinzo Abe, a prononcé à cette occasion un plaidoyer contre l’arme nucléaire :
« En
tant que seul pays frappé par l’arme atomique (…) nous avons pour
mission de créer un monde sans arme nucléaire. Nous avons la
responsabilité de faire comprendre l’inhumanité des armes nucléaires, à
travers les générations et les frontières. »
Le
maire d'Hiroshima, Kazumi Matsui, a demandé quant à lui de supprimer
les armes nucléaires, « le mal absolu », et de créer des systèmes de
sécurité qui ne soient pas dépendants de la puissance militaire. Il
s’est adressé directement « aux leaders du monde », et leur a demandé
« de venir dans les villes qui ont été bombardées, d’écouter les
histoires des hibakusha9 et de connaître la réalité d’un bombardement nucléaire »10.
En mai 2016, 71 ans après l'explosion de la bombe atomique, le président des États-Unis Barack Obama se rend à Hiroshima pour rendre hommage aux victimes, en marge d'une réunion du G7 qui se tenait au Japon. C'est le premier président américain en exercice à se rendre au parc de la Paix11,12.
Cette visite crée la polémique aux États-Unis, notamment parmi les
vétérans de la Seconde Guerre mondiale qui s'étaient battus contre
l'armée japonaise et ne souhaitaient pas que ce déplacement puisse être
perçu comme des excuses américaines12."
Tokio
Ma première impression à Tokyo fut de me croire à New York, au point que je faisais constamment le lapsus.
Et puis j'ai découvert une ville bien différente de la belle américaine.
Et puis j'ai découvert une ville bien différente de la belle américaine.
Même
si toutes deux rivalisent pour leurs gratte-ciel (gratte-ciels pour la
nouvelle orthographe), les quartiers anciens sont totalement différents,
en bois au Japon, en brique ou en pierre pour l'Amérique.
Tokyo
aurait mérité plus de temps pour la découvrir, la ville est composée de
nombreux quartiers très différents les uns des autres, mais il faudrait
avoir une autre vie...ce qui est peut-être possible quand on est
extrême-oriental.
Et
la Japonaise est jalonnée par d'innombrables temples bouddhistes ou
shintoïstes, plus beaux les uns que les autres qui changent complètement
l'ambiance quand, comme moi, on pense à New York.
Mais je me suis rapidement sentie dépaysée et agréablement dépaysée, la propreté et l'organisation de la ville étant incomparable.
Mais je me suis rapidement sentie dépaysée et agréablement dépaysée, la propreté et l'organisation de la ville étant incomparable.
A cela s'ajoute une abondance de transports en commun que je n'ai vue nulle part ailleurs, des trains, des métros, des monorails, des bus, des taxis....J'avoue qu'au début, on se perd facilement dans les gares mais nous n'avons quand même jamais pris le mauvais train.
Tous ces moyens de transport avec une fréquence de circulation impressionnante.
Même les trains longue-distance (le Shinkansen, l'équivalent de notre TGV) se suivent avec des intervalles de 7 ou 8 minutes, et quelle organisation pour qu'il n'y ait pas de bousculade !
J'ai
été impressionnée aussi par les parcs immenses et tous plus beaux les
uns que les autres, d'autant plus qu'en automne les érables (différents
des érables nord-américains) prennent des couleurs écarlates de toute
beauté, tout comme les ginkgos bilobas qui prennent une belle couleur jaune vif.
L'accueil des touristes
La ville et la campagne
japonaises fourmillent de gens occupés à toutes sortes de tâches
dont certaines ne seraient même pas envisageables chez nous.
Dans
la rue, par exemple, dès qu’il y a des travaux, des personnes
viennent vous montrer le chemin à prendre pour ne pas risquer de
vous blesser et pour ne pas gêner les ouvriers. Ces personnes sont
directives tout en restant très polies.
De
même pour traverser les rues un peu dangereuses, il y a souvent des
agents de sécurité, deux la plupart du temps, un de chaque côté
de la rue et ils nous font signe lorsqu’il faut passer ou nous
rappellent à l’ordre si on n’attend pas au bon endroit !
Nous
avons aussi remarqué que personne ne traverse quand le feu est rouge
pour les piétons, même s’il s’agit d’une petite rue avec peu
ou pas de circulation. Inimaginable pour des Français !
J’ai
lu qu’il s’agit souvent de retraités bénévoles qui souhaitent
être encore utiles à leur pays.
Dans
les gares, ces bénévoles portent des gilets avec des inscriptions
« NEED HELP ? »
ou « ASK ME » et c’est toujours un soulagement d’en rencontrer quand on cherche son chemin ou quand on ne comprend pas comment fonctionne une consigne ! Les gares sont immenses, notre gare du Nord à Paris est bien petite si on la compare à la nouvelle gare de Kyoto et quand on ne lit pas le Japonais, je peux vous dire que c’est un vrai soulagement de rencontrer ces personnes, même pour trouver la sortie.
ou « ASK ME » et c’est toujours un soulagement d’en rencontrer quand on cherche son chemin ou quand on ne comprend pas comment fonctionne une consigne ! Les gares sont immenses, notre gare du Nord à Paris est bien petite si on la compare à la nouvelle gare de Kyoto et quand on ne lit pas le Japonais, je peux vous dire que c’est un vrai soulagement de rencontrer ces personnes, même pour trouver la sortie.
Il
nous est aussi fréquemment arrivé d’être accostés par de
simples passants lorsqu’ils nous voyaient avec un plan de ville
dans la main, d’autres nous raccompagnaient jusqu’à la maison
que nous avions louée et que nous avions du mal à retrouver en
rentrant le soir.
Une
autre fois, un monsieur a eu pitié de nous en nous voyant tirer nos
valises, il a rangé son sandwich, il nous a transporté nos valises
dans sa voiture jusqu’au port du ferry où nous nous rendions. Et
cela avec un grand sourire et beaucoup d’affabilité !
Nous ne pouvons faire que des
compliments du comportement des Japonais !
Hiroshima (suite)
A Hiroshima, après avoir parcouru le parc du Mémorial de la Paix, nous avons visité le musée de la Paix.
Accueil chaleureux des Japonais, quelques anecdotes
Notre itinéraire était tracé, les moyens de transport avaient été définis à l'avance, nos lieux de séjours avaient été sélectionnés, nos nuits étaient réservées dans des hôtels, des ryokans ou des maisons de location, vu depuis Remiremont, tout semblait parfait .
Hiroshima (suite)
A Hiroshima, après avoir parcouru le parc du Mémorial de la Paix, nous avons visité le musée de la Paix.
Grand
bâtiment moderne en béton, grand silence, les gens osent à peine parler
à voix basse, ambiance pesante, sentiment d'oppression.
Tout
d'abord, de nombreuses photos rappellent les faits : la bombe du 6
août 1945, avec beaucoup de photos de victimes humaines et du chaos dans
la ville.
70000
personnes sur les 300000 que comptaient la ville sont mortes après
l'explosion et autant dans les jours et les mois qui suivirent.
Des
photos qui vous tirent les larmes, en particulier lorsqu'elles sont
présentées avec des témoignages relatant le vécu de familles ou de
rescapés.
Les
jours et les mois qui ont suivi ont été épouvantables pour les
survivants qui ont dû vivre isolés dans les ruines, car les gens des
environs les fuyaient, craignant la contagion ; en effet personne ne
comprenait ce qui leur était arrivé et ils faisaient peur à voir.
Ils
souffraient physiquement de leurs brûlures, ils souffraient aussi des
intempéries et de leur solitude après la mort de leurs proches et ils
avaient aussi beaucoup de peine à trouver de quoi se nourrir.
Beaucoup sont morts rapidement.
Plus
loin dans le musée, il y a tout un plaidoyer pour l'abolition totale de
l'arme atomique avec un inventaire de toutes celles qui existent
actuellement dans le monde.
Faut-il être optimiste ???
Et encore, comme souvent au cours de notre voyage, une dame nous a abordés en nous entendant parler Français.
Après nous avoir donné quelques explications en Anglais, elle a tiré de son sac un papier avec le récit d'un rescapé qui avait 47 ans en 1945 et qui est décédé en 1982, à 84 ans.
C'est une traduction du texte original japonais dans un Français un peu approximatif, je n'y ai pas touché volontairement, je vous l'envoie tel que je l'ai eu.
Après nous avoir donné quelques explications en Anglais, elle a tiré de son sac un papier avec le récit d'un rescapé qui avait 47 ans en 1945 et qui est décédé en 1982, à 84 ans.
C'est une traduction du texte original japonais dans un Français un peu approximatif, je n'y ai pas touché volontairement, je vous l'envoie tel que je l'ai eu.
Accueil chaleureux des Japonais, quelques anecdotes
Notre itinéraire était tracé, les moyens de transport avaient été définis à l'avance, nos lieux de séjours avaient été sélectionnés, nos nuits étaient réservées dans des hôtels, des ryokans ou des maisons de location, vu depuis Remiremont, tout semblait parfait .
Effectivement,
l'arrivée à l'aéroport de Tokyo tout comme l'entrée en ville en
monorail se sont passées sans souci sauf que nous n'avions pas réalisé
que nous étions en zone internationale au milieu d'étrangers pour la
plupart anglophones...
Nous avions un plan précis du trajet vers notre hôtel que nous avons trouvé facilement.
L'Anglais
jusque là nous avait toujours permis de vivre normalement à l'étranger
et nous n'avions pas vraiment anticipé que nous allions vivre en
analphabètes, même avec le bac 65 en poche !
Donc,
quand la faim nous a titillés le premier soir, nous sommes entrés dans
un petit café/restaurant où la carte nous a été présentée en japonais
par des serveuses qui ne parlaient pas anglais : choisir des plats au
hasard et vider ensuite son assiette avec des baguettes a été une
première expérience !
Heureusement
notre serveuse est revenue gentiment aider ses clients bien patauds et
nous avons pu nous restaurer correctement mais cette première soirée
nous a plongés sans détour dans la vie japonaise.
A
la table voisine, un dizaine de messieurs discutaient en buvant des
bières ou du saké, ils étaient calmes à notre arrivée, puis de plus en
plus bruyants à mesure que le temps passait. Or des lectures récentes
nous avaient appris que le soir, les Japonais, épuisés par leurs longues
journées de travail avaient coutume d'aller se "détendre" ainsi, en
laissant femmes et enfants à la maison.
De
même, j'avais lu que patrons et employés ou étudiants et professeurs se
retrouvaient de temps en temps dans le but de se dire réciproquement
leurs vérités... après s'être copieusement enivrés, et qu'ils trouvaient
là un moyen d'améliorer leurs relations, en acceptant des reproches
réciproques.
Les messieurs attablés à côté de nous étaient-ils en train de se dire leurs vérités ? On pouvait l'imaginer.
C'était
aussi la première fois que nous nous trouvions dans l'incapacité de
lire ou de comprendre quoi que ce soit et, pire encore, de nous faire
comprendre.
Nos
nouvelles conditions d'analphabètes nous ont fait réaliser la richesse
de la communication ou plutôt les inconvénients de son absence et au
cours du voyage, nous nous sommes sentis plusieurs fois frustrés de ne
pas avoir de réponses à nos questions.
D'autres
fois, nous avons ri en découvrant avec surprise ce que nous avions
acheté à manger : des soupes instantanées aux algues gluantes ou des
haricots de soja fermentés au fort parfum de fermentation et à l'aspect
peu engageant.
Les
emballages, souvent sans photos, et avec des explications uniquement en
japonais nous ont posé bien des problèmes, la première bouteille de
lait achetée contenait tout autre chose que nous n'avons pas pu
déterminer...ni boire, d'ailleurs !
Heureusement
les Japonais sont des gens plutôt aimables et toujours prêts à se
dévouer pour répondre à nos questions d'une façon ou de l'autre.
Un
soir, sachant que les petites rues n'ont pas de noms et que les maisons
n'ont pas de numéros, un jeune homme à vélo, à qui nous demandions le
chemin pour rentrer à notre maison, nous a gentiment accompagnés jusqu'à
notre porte, en marchant à côté de son vélo à 20 minutes de là, cela se
passait à Kanazawa (460 000 habitants) !
Ou
encore, autre rencontre à Tokyo cette fois : alors que nous venions de
visiter un musée avec une guide francophone, celle-ci nous a proposé de
nous accompagner dans la ville le soir après son travail, bénévolement.
Et, en la quittant le soir, elle nous a proposé de nous accompagner à
nouveau le lendemain. Sa compagnie nous a permis de découvrir Tokyo très
agréablement et d'obtenir des réponses à toutes sortes de questions que
nous nous posions. Ce fut la seule francophone que nous avons
rencontrée.
A propos de communication, un jour sur un ferry, j'étais assise à côté d'une jeune dame de Rovaniemi en Finlande avec qui je partageais mes impressions et nos difficultés pour discuter avec des Japonais parce que peu d'entre eux parlaient Anglais, sur quoi elle m'a répondu du tac au tac "mais c'est la même chose chez vous en France"! Je n'ai pu qu'acquiescer et regretter la chose...entendre des vérités, ça fait du bien parfois !
A propos de communication, un jour sur un ferry, j'étais assise à côté d'une jeune dame de Rovaniemi en Finlande avec qui je partageais mes impressions et nos difficultés pour discuter avec des Japonais parce que peu d'entre eux parlaient Anglais, sur quoi elle m'a répondu du tac au tac "mais c'est la même chose chez vous en France"! Je n'ai pu qu'acquiescer et regretter la chose...entendre des vérités, ça fait du bien parfois !