par Georges Charles
Vendredi 2 Octobre
Chaque début de mois, le même rituel revient. Après avoir reçu la version corrigée, par les soins experts de ma soeur Christine, des chroniques du mois précédent, je les imprime (par goût, je tiens à conserver une version papier), les convertis en portable document format, communément abrégé en PDF et les envoie à mes correspondants. C’est un temps, bref, de légitime satisfaction de soi.
J’entretiens avec ce travail de métabolisme personnel des liens complexes et paradoxaux, d’épanouissement intellectuel et de fatigue psychique. Épanouissement intellectuel, oui, car il est jubilatoire, pour vérifier un fait ou faire une recherche, de plonger dans les milliards de tonnes de documentations et d’informations fournies, de façon quasi gratuite, par Internet. Fatigue psychique, oui, lorsqu’il est question d’évoquer des événements personnels et passés.
Début septembre, j’ai consacré du temps à la " reconstitution " des années 1970. De nouvelles rubriques vont en chasser d’anciennes ; bientôt la fin de l’orientalisme pictural, de l’amalgame et de la
stigmatisation.
stigmatisation.
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